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Pondéralement vôtre...

14 octobre 2012

Fermeture du blog.

Blog fermé, mais pas supprimé. Peut-être qu'un jour sait-on jamais, vous le verrez renaître ! En attendant vous pouvez me retrouver : - Sur Mes Caprices en cuisine, mon blog gourmand et capricieux (et oui autant vous dire que les régimes et moi pour le...
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30 janvier 2012

Le retour des habitudes saines.

Hé oui ! Apparemment ça y'est. Je suis repartie pour un tour. Ca a pris son temps, mais que veux-tu, il y a des moments dans la vie où on ne peut pas être sur tous les fronts. J'ai donc repris contact avec mon endocrinologue-nutritionniste de Muret. Je m'y rends depuis Rodez et je m'en fiche de faire 2h de route. C'est une personne avec qui je suis en confiance, et qui m'écoute et me comprend, je crois que c'est absolument essentiel et surtout elle m'ausculte, et s'attarde à faire une bonne analyse sanguine avant tout programme alimentaire.

J'ai donc repris exactement le même programme qu'en 2009. Vous pouvez le retrouver ici. Les débuts ont été un peu difficile. Passez de but en blanc à un autre mode alimentaire et laisser de côté les envies gourmandes, les pulsions. Il faut surtout s'habituer à manger différemment des autres, ça c'est moins drôle. Mais bon, il a fallu une volonté puissance mille pendant une semaine. J'entame la troisième semaine un peu plus sereinement car j'ai retrouvé des réflexes.

Du coup je m'amuse en cuisine et ça donne des petits plats sympas finalement, diététique et gourmand ! Pour le moment 2 kilos ont pris le large ...


Je reprends goût. En revanche ma prise de sang à montré une forte carence en vitamine D et une hypocalcémie latente... Du coup, normalement, une fois que tout ça sera remonté, je devrais retrouver encore plus de motivation ! Comme on dit, y'a plus qu'à !

8 janvier 2012

Un peu d'humour "équitable"

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29 septembre 2011

« Uniforme »

Je n'aurais peut être pas du allumer la télé à ce moment là. Mais j'avoue que pour une énième fois, j'ai eu envie d'y balancer une bonne brique bien destructrice. C'était l'heure du télé-achat. Le produit proposé, un sous-vêtement gainant dit « miracle », capable de vous faire perdre 3 tailles de vêtements en 10 secondes. Ma curiosité étant aiguisée, j'avoue que si j'avais l'occasion de tester pour avoir un bon fou rire, car l'idée qu'une « gaine corporelle » puisse me faire passer de ma taille 52 à une taille 46 me paraît assez DROLE. Je me demande d'ailleurs à quel point on est compressé et où le « surplus » est aussi bien planqué.

 

Mais là n'est pas la question de l'efficacité ou non de ce produit. Ce qui m'a dérangé c'est cette volonté « d'uniformisation » sur des femmes qui faisaient au maximum une taille 40. « Cachez vos bourrelets avec machin truc et vous aurez une allure sexy et élégante, vous serez mince et belle. Votre silhouette sera LISSE ET UNIFORME ».

 

Wow … C'est donc ça être belle, sexy et élégante ? Etre « lisse et uniforme » ? Ressembler à un même modèle de beauté, un peu comme une série de robot, une série de clône ?

 

Comment voulez-vous que les gens se sentent bien dans leur peau quand on entend des conneries pareille ? Faut-il préférez un monde lisse et uniforme, sans saveur, sans rebondissements, sans bourrelets ? Avec ce genre de produit, vous n'être plus quelqu'un de particulier, vous êtes juste lisse et uniforme, vous n'êtes plus unique et je trouve ça vraiment dommage.

19 septembre 2011

J'ai testé pour vous les grosses cuisses.

Oui. Il faut bien quelqu'un pour tester de toutes manières. Dernièrement je suis allée à un super mariage en région parisienne, avec bisou sur le balcon et repas et soirée dansante sur une péniche, un régal. C'est à la dernière minute que j'ai appris avec grand plaisir qu'on pourrait, chéri et moi s'y rendre. Mais un obstacle se présentait à moi : la tenue. Oui, parce que j'ai repris les 30 kilos que j'avais perdu. Et en une semaine, ils allaient pas s'envoler même si je faisais un régime « bouillon de poireau ». Ma garde-robe n'étaient plus adaptés à mon physique actuel, mon physique de Cindy Crawford version saucisse, ou Claudia Shiffer bien potelée quoi. Bref. Je craignais deux choses : une, de pas trouver de tenue et deux, de revoir plein de gens qui, la dernière fois qu'ils m'avaient vu, avait remarqué les 30 kilos de moins, ou ne savaient pas forcément que je venais de perdre 30 kilos. Et comme je les ai repris .. Nan mais vous savez, ça fait toujours un truc de se dire « Ils vont m'dire quoi ? Ils vont m'dire quoi les gens qui m'ont encouragée, félicitée tout ça tout ça tout ça ... ». Un psy me dirait que ça on s'en cogne, que les gens m'invitent pour moi et pas pour mon enveloppe corporelle. Je serais même la première à le scander. Mais bon, soit, vous savez ce que disait Brassens, quand on est con, on est con. 

 

Quand j'ai réglé le problème de la tenue, le reste était réglé. Ca a été rapide et efficace et j'ai eu un vrai coup de foudre pour une grande robe beige décorée de grandes fleurs rougeoyantes. Et comme je me sens super bien dedans, quand je la porte, j'oublie le reste, j'oublie le gras, j'oublie … Et du coup tout se passe bien. Tu vois, quand t'es pas sans cesse tourné sur l'image que tu renvoies, c'est quand même plus facile de profiter simplement de l'instant présent. Du moins, c'est la leçon que j'en tire.

 

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Mais ce jour là, j'ai marché marché marché, et encore marché, puis marché, puis encore marché … Et si j'avais prévu la crème en cas d'irritation des « cuisses qui frottent », je crois que je n'avais pas imaginé à quel point j'allais souffrir ce soir là de mes grosses cuisses. Tout commençait à rougeoyer comme les fleurs de ma robe, au moins c'était assorti.

 

Arrivé au moment du repas, le simple contact de la peau de mes cuisses quand j'étais assise m'étais absolument insupportable. J'ai donc décidé d'aller vers les toilettes pour trouver une solution. Comme nous avions ramené le cadeau de mariage dans un sac … poubelle (oui , on avait que ça sous la main ! ) et que jeter un sac poubelle me faisait très bizarre, même si c'était de la métapoubelle et qu'en général tout ce qui commence par « méta » me rend folle de joie (la faute à mon prof de littérature de première année de licence de lettres qui nous parlait souvent de « métalangage », du « langage qui parle du langage …), j'avais donc dans mon sac à main, un sac poubelle. V'là t'y pas qu'une lumineuse idée me traverse la tête. Le sac poubelle étant vierge de tout déchet, il était propre. J'ai donc décidé de le couper en deux et de me l'enfiler sur une cuisse en le coinçant via l'élastique de mes sous-vêtements.

 

Ouais. J'ai fait ça , en plus de me vider un quart de mon tube de crème anti-irritation sur les cuisses.Si si , je te jure, sous ma robe, il y avait un sac poubelle. Un sac que j'ai béni un bon moment.Heureusement, la lumière était un peu tamisée donc pas moyen de le voir en transparence sous la robe et il y avait de la musique, donc impossible d'entendre le frifrifrifri entêtant du plastique quand je marchais.

 

Il est arrivé un moment où cette solution devint vraiment inefficace. Et je voulais tellement participer à ce mariage, profiter de la soirée et de la piste de danse !!!! Après avoir testé le papier toilette qui se déchire, des serviettes et même mettre ma robe « en pantalon » (truc assez ridicule). J'ai donc demandé conseil à chéri : « dis tu crois que ça craint si je demande un bandage à l'équipage ? » … Finalement, c'est lui qui a demandé, parce que j'avais un peu honte. Et puis le monsieur il a demandé «  Vous vous êtes blessée ? » et moi de répondre « Et bien, c'est super gênant à expliquer, mais oui ». Nous descendons aux toilettes et chéri vient avec moi chez les filles. Je me retrouve la jambe en l'air à me faire la bande. Les femmes passent et me regardent atterrée. Je les comprends, une si belle cuisse dévoilée dans les toilettes des femmes, c'est impressionnant.

 

Et vous croyez que je suis douée pour me faire un bandage ? Pas du tout ! A peine ai-je eu rejoint ma chaise que déjà il était en bas de ma cheville. Fichtre. Retour aux toilettes … Et me voilà sauvée par une amie infirmière qui, après avoir constaté les dégats, a mis tout son savoir faire pour faire tenir le bandage.

 

J'ai pu danser. En gardant les cuisses serrées pour pas que ça frotte, ou à petit pas, tranquillement. Mais j'ai pu danser et profiter comme il se doit de la piste de danse avec les mariés, non mais ! J'allais pas me laisser intimider par le gras de mes cuisses !

 

Et pour le retour au bercail, il a fallu marcher, marcher et encore marcher... le bandage est tombé et si on vous raconte que la nuit du 3 au 4 Septembre 2011, une drôle de dame en robe marchait en canard en région parisienne… soyez en surs, c'était moi, sauf que ce n'était pas pour ce que les gens imaginaient.

 

Au final, le surlendemain, le mal était presque apaisé même si tout s'est transformé en bleu, jaune, violet, rouge. J'ai cru que ce serait un nouveau déclic pour reprendre les choses en main …j'ai préféré en attendant le déclic, aller m'acheter un caleçon blanc qui arrive au genou. Comme ça ma robe, je pourrais ENCORE crâner dedans et sans souffrir... Parce que moi, souffrir pour être belle, beh, j'aime pas trop !

 

 

 

 

 

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25 août 2011

Une garde-robe pour moi !

Je me torturais vraiment pour rien tous les jours par un simple geste : ouvrir les portes de ma penderies. Je tombais alors sur tous les vêtements dans lesquels je ne rentre plus, de jolis vêtements que j'avais pu m'acheter parce que j'avais maigri, parce que pour une fois, je pouvais craquer sur ce qui me plaisait... Va-t-en trouver le petit haut sympa en taille 50 quand la boutique a décidé que LA FEMME ne devait pas faire plus qu'une taille 44 ! Bref, je m'infligeais cette peine tous les jours avec le même rituel. Je poussais un à un les vêtements en me disant « ça c'est pas la peine, ça c'est pas la peine, ça c'est pas la peine, je suis trop grosse ». Une conclusion très relative car trop grosse par rapport à quoi ? Et selon quelles normes ? N'était-ce pas plutôt ces vêtements qui étaient trop petit ? C'est comme en Sciences, tout dépend le référentiel où tu te trouves.

 

J'ai donc hier matin eu envie de changer toute l'organisation de mes placards et penderie car depuis quelques temps j'ai réinvesti dans des vêtements qui ne sont pas trop petits. Ces derniers sont allés dans la penderie, bien alignés et les vêtements trop petits sont partie en bas de la commode. Ainsi, lorsque je veux m'habiller, je trouve toujours mon bonheur. Et puis j'ai fait le choix de vêtements colorés... mais oui vous savez bien ce qu'on dit « blablabla le noir affine la silhouette ! ». Que nenni ! Trop triste pour moi. Le noir, je le garde pour les pantalons. Le reste coloré sera !

 

Me voilà donc beaucoup moins vindicative à mon égard, choisissant mes vêtements sereinement, en me disant « hey, mais ça te va bien ça ! ». Les vêtements trop petits resserviront peut être un jour et c'est bien pratique d'avoir une garde-robe prête à affronter les fluctuations pondérales qu'on peut connaître dans une vie.

 

Pour finir, je trouve que le prêt-à-porter commence à faire véritablement des efforts pour les personnes de mon actuelle corpulence et la Halle aux vêtements en fait partie : prix raisonnables, modèles jolis, pas de sacs à patates, des couleurs, des motifs intéressants. Certes il existe des boutiques spécialisées mais beaucoup trop chères pour moi ...du moins là où j'habite, le chemisier est à minimum 120 euros... Pour le coup, c'est le prix qui est trop gros.

 

Bref, ne plus penser à mon poids, ne plus avoir pour projet que « maigrir » fait un bien fou. Donnons-nous le temps.  

21 août 2011

Retour à la case départ

Quand j'ai recommencé à frénétiquement me peser quotidiennement, désespérée de me voir grossir jour après jour, sans vraiment agir, en désespérant, en sachant quoi faire, mais sans arriver à le mettre en oeuvre, quand j'ai recommencé à m'empiffrer de sucrerie et je ne sais quoi d'autres l'après-midi en me lamentant sur mon pauvre sort, je me suis dit que quelque chose n'allait pas. Quand j'ai recommencé à exécrer mon image dans le miroir, à rager de ne plus fermer les pantalons, rager d'avoir les t-shirt trop court ou trop petit, quand je me suis mise à en pleurer et considérer tout ça comme une défaite, je me suis dit que quelque chose n'allait pas.

 

Avant de maigrir puis de regrossir, j'avais réussi à avoir une très bonne « image » de moi-même. Je me sentais bien dans mes 113 kilos et il est vrai que j'avais vaincu un peu tous ces démons et c'est ce qui m'avait permis d'entreprendre une « action d'amaigrissement », pour ma santé en priorité. Perdre 30 kilos a été un véritable bonheur sur de nombreux plans : je n'avais plus mal ni aux chevilles ni aux genoux, je me sentais bien, je pouvais trouver des vêtements dans TOUTES les boutiques de fringues, et les compliments pleuvaient, même s'ils m'étaient toujours difficile à digérer. Les « tu es bien mieux comme ça ! », « tu es une autre femme », « Ouaaah la vache ! Mais t'es super belle maintenant ! » m'ont toujours plus ou moins agacée parce qu'ils étaient de l'ordre de l'apparence et moi au fond, à part gagner de la souplesse, de la forme physique, je n'avais pas changé.

 

Aujourd'hui, j'ai repris ces 30 kilos en 7 mois, aussi vite que je les avais perdus. Nul besoin de vous expliquer comment, même si je pourrais vous proposer un programme alimentaire fabuleux pour prendre du poids, si votre métabolisme y est disposé, bien évidemment ! Comme je l'ai dit au début, c'était le retour de l'obsession, de mon propre regard dégouté de ce que je renvoyais. Et puis je voulais comprendre comment j'avais pu aussi vite oublier « les bonnes habitudes » - je les mets entre guillemets, vous comprendrez ensuite pourquoi- comment j'avais pu ainsi me laisser aller et ne pas le contrôler. C'est là que j'ai compris que les problèmes liés à l'alimentation ne touchait pas que les autres et que moi aussi, je pouvais avoir un rapport à la nourriture tout à fait particulier, voire maladif.

 

Je ne voulais plus aller voir des gens qui m'avait vu avec 30 kilos de moins. Je ne voulais pas me montrer en société. Je craignais que mon conjoint prenne peur , même si je l'avais prévenu que le poids pouvait revenir et qu'il m'avait dit s'en foutre complètement. Je croyais même, étant chômeuse, que mon poids serait un problème lors des entretiens d'embauche. Je croyais que j'étais un boulet pour les activités parce qu'à nouveau essoufflée au moindre escalier. Je croyais que j'étais moche. Je croyais que les gens dans la rue allait me scruter et se dire « Qu'est ce qu'elle est grosse ! ». Je croyais des trucs bêtes. Mais ce n'est pas parce que je suis bête, c'est juste parce que l'on vit dans un monde « aseptisé » , un monde où le poids est un sujet de société très en vogue, un monde où le physique et ses défauts sont montrés du doigts. C'est aussi parce que je croyais avoir la science, la solution, les règles à suivre, les bonnes habitudes. Des règles que j'ai réussi à suivre à la lettre pendant un an, mettant mon rééquilibrage alimentaire en première ligne, comme une fierté, un mode à suivre. L'imposant à tout le monde. J'en ai fait un projet trop important. Je me suis enfermée dans des « règles », n'en sortant que de temps en temps, arrivant chez les amis avec mes boites de crudités ou les ayant prévenu qu'il me fallait absolument des légumes !

 

Pendant un an, matin, midi et soir, j'ai réfléchi tous mes repas, jour après jour. J'ai calculé. J'ai prévu. J'ai vécu en fonction de mon alimentation : 100 g de protéine, 100 g de féculents, légumes à volonté, un laitage ou un fruit. Certes, j'ai varié mes menus, leur donnant de nouvelles saveurs pour ne pas me lasser, mais j'ai mis de côté les petits plaisirs qui parfois font du bien quand la vie se montre un tantinet rude avec nous.

 

A cette époque, je dirai que ma vie était relativement stable. J'avais un travail et des projets, une maison en travaux, je crapahutais dans le Gers à loisir, j'écrivais, en somme j'étais très occupée. Les choses ont changé quand j'ai commencé à avoir mal au bras droit, à arrêter de travailler par nécessité médicale, à gamberger, à ne pas savoir ce que j'avais, à être enfermée à la maison par des horaires de sorties bien définis, à avoir mal et minimiser mais avoir mal quand même. Quand j'ai démissionné j'ai eu un soulagement. J'ai quitté le Gers et je ne le regrette pas puisqu'aujourd'hui j'ai le bonheur de me réveiller tous les matins à côté de l'homme que j'aime. Déménager n'a pas été difficile. Mais le plus dur est sans doute de se poser des tas de questions chaque jour quant à un avenir professionnel, attendre, sans arrêt attendre. Perdre le goût de certaines activités et compenser en mangeant. Tout simplement. Je ne croyais pas avant à cette idée de « compenser en mangeant ». Mais avouez que c'est une occupation comme une autre, qui peut être agréable selon ce qu'on ingurgite. Mais le plaisir n'est pas toujours au rendez-vous, car ça devient très vite une habitude, une sorte de compulsion.

 

J'ai bien tenté de rencontrer une nouvelle nutritionniste, l'ancienne étant trop loin. Mais elle ne m'a pas vraiment écoutée. Je me suis tournée vers une autre sorte de spécialiste, plus à l'écoute et qui ne me dit pas de suivre des règles alimentaires précises et me permet d'améliorer mes rapports avec la nourriture. J'apprends aujourd'hui à ne plus me considérer comme anormale, car le fait de manger comme je le fais est une réaction naturelle à l'attente. Je retrouve le plaisir d'avoir des activités, même si j'ai mal au bras. Je retrouve le plaisir de cuisiner, équilibré ou non. Je retrouve aussi une certaine harmonie avec moi même. Je ne suis pas un monstre, je suis juste humaine, avec mes forces et mes faiblesses. Et si je déborde un peu de kilos, c'est quelque part aussi que j'ai une personnalité débordante.

 

Retour à la case départ. Le parcours sera peut être différent ! Peut être perdrai-je à nouveau du poids, peut être pas. Ce qui compte c'est d'être soi-même. Je suis moi et si l'on m'apprécie c'est aussi pour ça, pas parce que j'ai ou pas du gras. 

 

12 août 2011

Bientôt...

... ce blog sera de retour, comme un éternel recommencement ...

8 juin 2011

Blog qui se prend une pause ...

Prenons le temps.

Je prends le temps et les choses en main. Pour le moment je ne peux point vous en parler. Mais dans quelques temps je sais que du côté "pondéral", tout ira mieux. Pour l'heure, je mets ce blog en pause car je n'ai rien de positif à y raconter, rien de constructif pour le moment.

J'ai consulté une nouvelle nutritionniste mais ça ne m'a pas aidé plus que ça, même si elle ne tient pas à absolument me faire maigrir.

Bref. A dans quelques jours, semaines ou mois. Mais je prends le bon chemin.

 

N'oubliez pas plusieurs choses importantes pour "maigrir" :

 

-Etre bien dans sa peau

-Le faire pour être en bonne santé

-Connaitre son métabolisme

-Se sentir unique et ne surtout pas vouloir ressembler au commun des mortels

 

Un rappel qui m'est à ce jour bien utile.

 

A bientôt !

 

Sylvie

11 mai 2011

Nouvelle tentative ...

Ce n'est pas parce que je n'arrive pas à m'y remettre, parce qu'à chaque fois que j'essaie de rééquilibrer mon assiette ça ne dure que quelques jours que je dois abandonner ! On dira qu'en ce moment je ne suis peut être pas prédisposée à m'en sortir toute seule. C'est pourquoi ce matin je suis allée faire une prise de sang de contrôle et que jeudi prochain j'ai rendez-vous avec une nouvelle endocrinologue-nutritionniste...

 

Une nouvelle oui ! J'aimais beaucoup la précédente mais j'habite à 160 bornes d'elle et il faut que j'attende 3 mois pour avoir un rendez-vous. Du coup, je vais en tester une nouvelle, et si ça ne va pas en tester d'autres jusqu'à trouver la bonne personne. Je pense qu'être guidée et recadrée, encadrée, soutenue par le corps médical sans être "culpabilisée" serait une bonne façon de me motiver et retrouver ma volonté ! Poser des objectifs concrets, parler de mon rapport actuel avec l'alimentation, le comprendre et le changer ...

 

Bref, c'est une nouvelle tentative, qui marchera ou pas mais je ne pourrai pas me reprocher de n'avoir pas essayé !

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